EDITORIAL Rubrique

A Nikol Pachinian


La victoire a cent pères, mais la défaite est orpheline, disait John Fitzgerald Kennedy. Aussi, est-ce un bien lourd fardeau que l’on fait porter au leader de la révolution de velours, en lui imputant, seul, la responsabilité de la capitulation du 9 novembre 2020.

Faut-il rappeler que son parti n’est majoritaire au Parlement que depuis le 9 décembre 2018, et qu’il ne saurait à ce titre endosser tous les « manquements  » de l’Arménie au cours des 20 années précédentes ? D...









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