OPINION Rubrique

Denis Donikian : « Où je meurs renaît la patrie » (Louis Aragon)


Ce matin, après une nuit sans fond d’insomnie et d’incertitudes, au cœur de chaque Arménien il y a un cri sourd fait de frustration et d’humiliation. En effet, le peuple arménien se trouve dans un entre-deux aux multiples visages : soulagement mêlé de colère, sentiment d’une perte et l’impression d’avoir sauvé les meubles, cette sorte d’abattement comme il en a tant connu et cette énergie des résiliences dont il a dû faire preuve souvent aux moments les plus mouvementés de son histoire.

Il reste que viendra le jour où il faudra bien aux Arméniens de construire un avenir à l’intérieur de frontières reconnues internationalement. Cela ne se fera pas sans examen de conscience, sans la reconnaissance de leurs failles en matière d’efficacité nationale.

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par Jean Eckian le mardi 10 novembre 2020
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