
Des vertus de la guerre

Les fermes mises en garde du président arménien à destination de l’Azerbaïdjan le montrent : la menace d’une reprise du conflit armé sur la question du Haut Karabagh n’est pas une vue de l’esprit. Cette dégradation de la situation, due à la logique de guerre dans laquelle s’est installé Bakou, est préoccupante. Non seulement parce que pour tout peuple, la perspective de devoir se battre pour préserver son droit à l’existence ne comporte en soi rien de particulièrement réjouissant. Mais aussi parce cette échéance intervient à un moment où, de Los Angeles à Erevan, l’arménosphère est en proie à des (...)
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