Face au nouveau pouvoir syrien, les Occidentaux temporisent, la Turquie et le Qatar cherchent à établir le contact, la Russie veut limiter la casse

Après la surprise suscitée par la chute du régime Al-Assad, renversé dimanche 8 décembre par l’offensive éclair des rebelles islamistes, les premiers pas du nouveau pouvoir sont scrutés de près par les capitales étrangères et les institutions internationales.

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