EDITORIAL Rubrique

Prise d’otage : quelle issue ?


De tous les accès de violence qu’a connu la vie politique arménienne depuis l’attentat au Parlement du 27 octobre 1999 jusqu’à la répression des manifestations du 1er mars 2008, la prise d’otage qui a lieu actuellement dans un poste de police d’Erevan est sans doute la plus dangereuse pour les fondements de l’État. Tout d’abord bien sûr pour des raisons de sécurité nationale. Cette entreprise arrive dans une situation de graves tensions aux frontières du pays qui inviterait, en principe, à favoriser l’union...









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